Ce que les morts laissent aux vivants – si ces morts ont été non des semeurs de mort mais de vrais vivants – c’est certes un chagrin inconsolable, mais aussi un surcroît de devoir de vivre, d’accomplir la part de vie dont les morts ont dû, apparemment se séparer, mais qui reste intacte.
C’est la manière, pour les vivants, de remettre les morts dans la Voie de la Vie ; c’est la manière, pour eux, de ne pas succomber à la mort.

François Cheng – L’éternité n’est pas de trop

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