Présentation
Praticienne et formatrice en psychogénéalogie et analyse transgénérationnelle, praticienne en hypnose Ericksonienne, certifiée en coaching professionnel, formée à l’accompagnement de fin de vie et la traversée du deuil, Bénédicte vous accompagne à Bordeaux et à distance.
Le temps du deuil est incompressible. Nul ne sait comment il s’écoulera, mais il peut être enrichi.
Chaque personne cheminera sur une durée qui lui est propre
Choisir d’être accompagné, c’est prendre soin de soi, s’offrir des parenthèses, du temps spécifique pour déposer ce qui se passe pour vous, là où vous en êtes, même très longtemps après le décès (ou la perte), nommer votre souffrance, vos besoins en élaborant par la parole, en questionnant, en créant, en apprenant , si besoin, à plonger dans les émotions pour les vivre et non les taire.
Je vous accueille en créant un espace sécurisant, dans une écoute profonde, active, en vous proposant aussi des exercices, des outils qui peuvent vous aider à mieux vivre cette traversée.
J’ajoute à cela, ma passion pour le transgénérationnel dans lequel le thème du deuil est très présent en général ; la façon dont les deuils ont été traversés dans l’histoire de la famille peut impacter la traversée des deuils des générations suivantes et d’aujourd’hui.
Analyser le vécu du deuil de ceux qui nous ont précédés pour se libérer des émotions qui ne nous appartiennent pas
Si cela résonne en vous, nous pouvons travailler autour de votre héritage émotionnel lié à la mort, au deuil.
Le silence, la douleur, les conséquences des deuils traumatiques s’inscrivent dans l’inconscient familial et peuvent devenir des sources de complications pour certains des descendants lorsqu’à leur tour, ils feront face à la perte d’une personne qui leur est chère.
Y-a-t-il eu un ou plusieurs deuils non faits ? Une personne a-t-elle disparue ? Le silence s’est-il installé après un décès ? Une mort a-t-elle été tue, cachée, arrangée parfois pour mieux convenir à la morale ? Y-a-t-il un corps qui n’a jamais été rendu à la famille ? Des décès sont-ils survenus dans des circonstances rendant le deuil impossible ? Y-a-t-il eu des morts (très) prématurées ? etc…
Ainsi, en analysant le vécu du deuil de ceux qui nous ont précédés, il est possible de faire du lien, de remplir le vide, de réintégrer, de reconnaitre (la personne, la douleur), de donner du sens, de nommer, de mettre de l’apaisement là où cela n’avait pas été possible (en créant un acte symbolique par exemple).
Ce faisant, on chemine dans son propre deuil, délesté des émotions qui ne nous appartiennent pas.